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L'effet principal de loi du 17 mai 2013 est non seulement de permettre aux couples de męme sexe de se marier mais aussi d'acceżder a` l'adoption, opérant ainsi une rupture avec le caractčre hétérosexuel du lien de filiation. En effet, l'article 343 du code civil relatif a` l'adoption ne fixe pas de conditions de sexe pour les couples marieżs. Il exige seulement que les deux eżpoux ne soient pas seżpareżs de corps, qu'ils soient marieżs depuis plus de deux ans ou a^geżs l'un et l'autre de plus de vingt-huit ans. Un de nos plus grands juristes, Jean Carbonnier, affirmait pourtant que le mariage est indissociablement lież a` la procreżation, la filiation - et par conseżquent l'adoption - ce qui explique qu'il soit par nature le monopole des couples heżteżrosexuels. Ainsi, quel cheminement permettrait de justifier la parenteż homosexuelle pour les couples de me^me sexe et quelles sont les conseżquences juridiques de sa conseżcration par le leżgislateur ? Par ailleurs, n'est-ce pas le début de l'écroulement d'un jeu de domino (quid de la procréation médicalement assistée et de la gestation pour autrui) ?