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Le principe souverain qui gouverne les relations internationales tel que défini dans les instruments juridiques internationaux est celui de la non-ingérence. Et la Charte de l'ONU n'a pas prévu d'exception qui soit de considération humanitaire ŕ cette rčgle. Les seules exceptions contenues dans la rčgle d'interdiction sont définies aux art. 51 et 42 de la charte. Sur base de quels principes juridiques, agirait l'ONU, en intervenant sur des considérations humanitaires? Que peut-on faire lorsque des ętres humains sont victimes des catastrophes naturelles ou des conflits et que leur gouvernement incapable de satisfaire leurs besoins fondamentaux viole gravement les droits de l'homme; que prévoit le droit international en pareille situation pour sauver ces victimes? C'est que, sur le plan juridique, l'intervention pose problčme. Quand est-elle justifiée? Quelles sont les conditions requises pour qu'elle soit mise en oeuvre et par quels moyens? Qui peut employer ces moyens et dans quel secteur de la société? D'autre part, faut-il faire prévaloir le principe de non-ingérence? Faut-il plutôt autoriser l'ingérence avec toute la suite des difficultés qui peut en découler?